En parallèle, Louis Hémon écrit également des nouvelles plus littéraires. Dans une lettre de février 1908, il fait lui-même de la publicité auprès de sa famille pour les articles « littéraires » qu’il écrit dans le journal parisien Le Temps. La publication en mars 1908 de sa nouvelle « Lizzie Blakeston » est remarquée par le public parisien « par l’instinct du style et la vérité du sentiment ». En 1916, dans sa préface de Maria Chapdelaine, l’académicien français émile Boutroux qualifiera cette nouvelle d’« une merveille d’observation ».
En 1908, Louis Hémon reçut également, lors d’un concours organisé par Le Journal, le deuxième prix d’une valeur de 500 francs, pour son conte d’observation satirique « La foire aux vérités » qu’il publia sous le pseudonyme Wilful-Missing.
De mai à juillet 1910, Louis Hémon publie une série d’articles sportifs dans la revue parisienne Force : « Le mépris des bêtes I », « Le mépris des bêtes II : les bêtes de mer », « Père inconnu » et « Le coureur de marathon ». Nous vous proposons de découvrir ici deux de ces articles.
