À l'annonce du verdict condamnant Louis Laberge, président de la FTQ, à 3 ans de prison pour incitation à la violence et au saccage de la Société Rupp Canada, Léo Roback exprime, au sein du journal Le Devoir, la gravité d'une condamnation se voulant exemplaire afin de réprimer les actions parfois musclées des syndicalistes de l'époque. Selon lui, ce procès découle de façon logique de l'adoption des lois 29 et 30 visant à la « mise en tutelle » des syndicats.
Service de la gestion de documents et des archives, Université de Montréal, Fonds Léo Roback (P217), contenant 2444, Libre Opinion, journal Le Devoir« Une stratégie de mise au pas du syndicalisme», 1975.
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©2010 Florian Daveau, François Larivée et Michel Ladouceur.